28.9.04

Pays de lumière

Je viens du pays délicieux
Où les vieilles maisons de pierre
Invitent l’eau de la rivière
À chanter son hymne radieux.

Je conserve au fond de mes yeux
Les jonchées de fleurs printanières
Offrant leurs couleurs incendiaires
Aux rais d’un soleil malicieux.

J’entends siffler la cafetière
Dans la maison hospitalière
De mes grands-parents silencieux.

Je garde en mon cœur la lumière
De l’aube, qui blanchit les cieux
Pour guérir les esprits pluvieux.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

J'aime beaucoup ce poéme... peut être car j'aime l'eau et les pierres. Puis aussi car il y a un peu de lumière.

Cécile

Anonyme a dit…

On aime ce poème,
Car elle souffle de l'air,
En tirant d'un monde ténébreux
Au pays des rêves radieux.