Patricia Guenot
Poèmes en prose, en vers
8.11.02
Femme fatale
Tu as éteint la flamme,
Tu as volé mon âme,
Et je reste tel un âne,
Comme une rose qui se fane.
Çà, on peut dire que je rame,
En attendant la fin de la panne.
Pour ce que tu m'as fait d'infâme,
Sois damnée, maudite femme !
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