Dans les débris de la parole,
Constellés de regrets épars,
Les mots s’unissent au hasard
En une étrange farandole.
Le temps s’étire en heures molles
Qui distillent des cauchemars
Dans les débris de la parole,
Constellés de regrets épars.
Les ombres de l’espoir s’envolent
Vers le ciel voilé de brouillard,
Tandis qu’un silencieux cafard
Enserre l’âme qui s’immole
Dans les débris de la parole.
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