Au bout du chemin montagnard,
Se dresse un village tranquille
Que, dès l’aube, des volatiles
Égaient de leur chant babillard.
Des fleurs plantées de toute part
Exhalent leurs senteurs subtiles.
Au bout du chemin montagnard,
Se dresse un village tranquille.
Sur un banc, deux noueux vieillards
Évoquent les années qui filent,
Tandis qu’une fille gracile
Succombe au charme d’un gaillard
Au bout du chemin montagnard.
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