Quand ton regard brûlant m’invite à déposer
Sur ton corps velouté de lascive princesse
Un faisceau enivrant de fougueuses caresses,
J’oublie les trahisons de mon corps épuisé.
Dans la nuit silencieuse où les feux irisés
D’une lune complice exaltent la noblesse
De ton visage offert à ma chaude tendresse,
Je cueille sur ta bouche un bouquet de baisers.
Ton sourire limpide immerge ma tristesse
Dans un torrent de joie, où fleurit la promesse
D’une harmonie nourrie de désirs attisés.
Dans le berceau soyeux de notre exquise ivresse,
Je t’enlace aujourd’hui, afin de composer
L’amoureux concerto de nos sens embrasés.
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