Dans les bras de mon étudiante,
J’écris le concerto majeur
De notre unisson enchanteur,
Pétri d’une joie impatiente.
Mue par une ardeur flamboyante,
Je dessine un chemin rieur,
Constellé d’enivrantes fleurs
Aux tonalités chatoyantes.
Insensible aux jaloux moqueurs,
Je tisse le fil du bonheur
Orné de promesses brillantes.
Aiguillonnée par la splendeur
De ma princesse sémillante,
Je conduis nos nuits rayonnantes.
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