J’assassinerai l’éditeur
Qui, caché dans sa tour de verre,
Oppose un mépris délétère
À mes poèmes enchanteurs.
Je crèverai les yeux moqueurs
De ce malotru qu’indiffèrent
Les vers que ma plume légère
Cisèle à l’encre de mon cœur.
Je grifferai sa face austère,
Avant de le jeter à terre
En me gaussant de sa terreur.
Je trancherai la jugulaire
De mon injuste détracteur,
Afin d’éteindre ma fureur.
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