J’assassinerai le facteur
Dont les furieux coups de sonnette
Me provoquent des maux de tête,
Qu’attisent son rire moqueur.
Quand cet épouvantail porteur
D’une abominable casquette
Viendra jouer les trouble-fête,
Je l’étendrai d’un poing rageur.
Lorsque cet âne à bicyclette
Mettra un pied sur ma moquette,
Je lui arracherai le cœur.
Je me gaverai de liqueur
Pour célébrer la mort parfaite
De cet effroyable raseur.
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