J’exècre le félin immonde
Qui souille mon appartement
De ses écœurants excréments
À la senteur nauséabonde.
Mû par son humeur vagabonde
Que relaient ses yeux de diamant,
Il inspecte inlassablement
Les kilomètres à la ronde.
Les effroyables miaulements
Qu’il lance vers le firmament
Brisent mes rêveries profondes.
Pour échapper à ce dément,
J’écraserai à coups de fronde
Sa gueule dans quelques secondes.
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