Dans la nuit solitaire
Le téléphone se tait
Sous l’horloge obsédante
L’ennui s’étale
Sur le lit d’insomnie
Souillé de regrets
L’œil accroche le placard fermé
Sur la douleur des souvenirs
Une musique subtile
Effrite le silence
L’âme s’allège
D’une tristesse diffuse
L’écho d’un sourire
Apaise l’abandon
Le matin éclaire
L’espoir naissant
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