Placards bourrés
De passions flétries
Balayées par l’ennui
Corps replié sur l’abandon
Au-dessus marteau rageur
Emménagements incessants
Des souvenirs hostiles
Hantent l’appartement
Ton espace se rétrécit
Le corps alourdi
De solitude quotidienne
Tu abdiques l’espoir
Le temps enterre
L’écho de tes joies
Devant la mort équivoque
Tu éteins tes rêves
Dans la pudeur du silence
Tu pactises avec le néant
L’esprit asphyxié
De douleurs indicibles
Tu lâches prise
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