Velours des voix anonymes
Dans l’écrin solitaire
De la nuit magnétique
Morsure d’une chanson
Le cœur se déchire
Au souvenir vorace
La pensée oscille
Au carrefour de l’amertume
Le corps pèse
L’aube creuse
L’ombre de l’absence
Le passé brûle
Le réveil bâillonne
L’espoir fragile
Au seuil d’un ennui paisible
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