Visages vides
Dans la ville amnésique
De mes voluptés
La nuit m’étouffe
Le silence sourd des murs
Mes chagrins s’emmêlent
Bruissement d’un souvenir
Souffle coupé
Par le poids des regrets
Fenêtre maculée d’ennui
Mon regard se noie
Dans le ciel béant
Dans l’équation de l’absurde
La vie se réduit
En inconnue mortelle
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