Corps noué
Sur le silence brûlant
D’une nuit infinie
Angoisse râpeuse
De l’âme asphyxiée
Sous la cendre des choses
Suppuration perfide
D’un passé maculé
De trahisons insoutenables
Obsessions sanglantes
Ancrées dans l’esprit fragile
Par l’horloge impavide
Cœur rongé de solitude
Aux portes d’un matin amer
Barbelé d’impossible
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