Au coin du sourire
L’ombre du regret
Drape la solitude
Les jours filent
En grinçant
Sur le rail de l’habitude
Le poids de l’ennui
Étouffe la joie possible
Dans le drap de l’absence
Les gestes mécaniques
Remplissent les heures
Du soir fade
Le plateau-repas
Fige le dégoût
Dans la vallée de l’insomnie
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