Dans la profondeur du désert
Une porte de sable s’ouvre
Vers un ailleurs limpide
La solitude balaie les traces
D’un passé lourd de certitudes
Au parfum amer
La nudité de l’espace
Affole le regard
Imprégné de superflu
Le corps s’allège
Des souffrances qu’effrite
La griffe du silence
La nuit tranquille
Ensevelit les spectres de poussière
Dans l’abîme des possibles
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